Une lessive maison quatre fois moins chère…

Aujourd’hui, j’ai animé des ateliers de fabrication de produits cosmétiques et ménagers. Nous avons fait un masque pour cheveux, un gommage pour le corps et de la lessive et on m’a demandé combien coûtaient les ingrédients. En rentrant, j’ai donc fait le calcul (prix Réunion) pour la lessive maison et je vous le partage ici :

1 euro pour deux litres de lessive liquide :

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Un vrai écolo est un écolo nu ?!

La question des vêtements écolos me trotte dans ma tête depuis plusieurs campagnes de soldes et cette année, je remarque que beaucoup d’initiatives traitent de consommation responsable hors alimentation, comme par exemple le défi « Rien de neuf » proposé par Zéro Waste.

Alors voilà, je m’engage ici solennellement ici à ne plus acheter mes fringues chez « Henry&Marinette », enseigne vestimentaire mondiale que vous aurez sans doute reconnue par ses initiales…

vêtement écologie scandale H&M loom action environnement

Pourquoi stopper cette frénésie vestimentaire ?

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Vous prendrez bien un ver ?

Jeudi, on m’a offert un ou même plusieurs vers, une bonne douzaine, même ! Merci Laura pour ce don !

Je vous rassure, ils sont loin d’être solitaires, ces vers qu’on m’a refilés. Ils étaient même bien nombreux, dans le lombricomposteur de Laura !

Voilà, j’ai pris des animaux domestiques sur mon balcon, pour manger mes épluchures ! C’est moins mignon qu’un lapin nain, mais ça devrait faire du bon terreau… Continuer la lecture de « Vous prendrez bien un ver ? »

De l’éducation 

L’éducation, c’est primordial pour Goût Nature : l’éducation à l’environnement, éducation au goût et aux jardins éducatifs… Explorons aujourd’hui le mot éducation avant de détailler ces thématiques.

J’ai lu récemment l’étymologie suivante : « Éducation vient du latin educare qui signifie redresser ce qui est tordu et mal formé… » Déprimant, non ? Et la rééducation, serait-elle le retour à la droiture pour un membre ou un comportement déformé ? En lisant cette signification, je pense aux jambes de Forrest Gump…… et j’espère que cette éducation est aujourd’hui révolue. Cette étymologie du mot éducation me gêne car elle semble conformer les individus et les étirer tous dans le même sens.

Heureusement, Wikipedia via le Gaffiot donne une étymologie plus appréciable : « éducation serait directement issu du latin educatio, lui-même dérivé de ex-ducere (ducere signifie conduire, guider, commander et ex, « hors de ») : faire produire (la terre), faire se développer (un être vivant) ».

De ducere on a gardé viaduc, aqueduc, oléoduc ainsi que « Il Duce », le guide en italien. Et la fonte « ductile » de nos bouches d’égouts ! Peut-être ne regardez-vous pas les inscriptions sur le sol, ou n’aimez-vous pas le latin… Quoi qu’il en soit, me voilà rassurée : l’éducation, c’est faire pousser, faire s’élever et se développer !

Cette définition me fait davantage penser à ça :

Quoi de plus logique alors que d’éduquer via le jardin ?

La légende urbaine des fauteuils en bouchons de bouteilles

Depuis quelque temps, ayant emménagé dans une nouvelle commune et avec quelqu’un qui me se pose beaucoup de questions, je me trouve souvent bloquée face aux poubelles, mon déchet à la main, ne sachant que faire…

Heureusement, une amie lance un site Internet participatif, Kel Poubelle, pour résoudre ces grands dilemmes de la vie quotidienne. Je vais aujourd’hui faire ma part, explorant la grande légende urbaine du fauteuil handicapé en bouchons de bouteilles recyclées. Continuer la lecture de « La légende urbaine des fauteuils en bouchons de bouteilles »

Noël sobre, acte 1 !

J-6 ! On prépare Noël, son sapin, ses cadeaux, son chapon, sa bûche…

Cette année, je vais essayer de ne pas trop produire de déchets et de ne pas surconsommer à Noël…

Comment faire ? En offrant du fait main, fait maison, de l’occasion, des cosmétiques bio sans emballage ou de la bouffe, ce qui ne devrait pas trop traîner dans un grenier, sous la poussière… Je vous aurais bien mis des photos en suggestion, mais je risque de spoiler les destinataires !

On peut aussi se libérer du cadeau matériel en offrant du temps, un partage, une journée (route des vins, massage, géocaching, 5 spectacles dans l’année, une rando, un pique-nique ou un bivouac glamour…) !

A moins que le meilleur cadeau ne soit… des sous ?! En tous cas, c’est zéro déchet !

Se pose aussi la question des emballages, facilement remplaçables par du beau papier journal ou kraft récupéré, un bocal avec du sable ou autre… ou encore un furoshiki, emballage japonais en tissu à nouer (en vidéo ici).

Pour le sapin et déco, voir l’article de France Nature Environnement.

Pour le repas, je vous joins une petite infographie faite par des anciens collaborateurs, sur l’impact carbone d’un repas.

Leur article est ici : En connaissant le contenu de notre assiette, nous pouvons bâtir un monde meilleur | Eco2 Initiative

Et voici quelques liens vers des recettes écoresponsables, avec leur bilan carbone sur le site de l’Ademe ou végétariennes pour Noël ou Nouvel An.

Et vous, quels sont vos bonnes résolutions pour un Noël sobre ??

En écrivant « sobre » je me dis qu’on aura déjà raté quelque chose : consommation massive de champagne importé… aie ! Promis, à la fin du repas, je sors les rhums arrangés maison !

Noel sobre

Fêtez bien cela, sans frustration surtout, mais avec beaucoup de partage et d’amour !!

La sobriété : une idée de bourgeois ?

Sans emploi ni revenus pendant 4 mois suite à ma démission, je me devais de réfléchir, approfondir et expérimenter cette fameuse « sobriété heureuse ». Pour vivre une consommation responsable, réduite voire zéro déchet ! Continuer la lecture de « La sobriété : une idée de bourgeois ? »

Manger responsable… une mince affaire ?

Pour bien commencer cette année, je fais toujours de bonnes résolutions !

– Alors, bon, qu’est-ce-qu’on fait en 2016, Cortex ??

– La même chose que tous les ans, Minus, tenter de sauver le monde !!

Et là, je suis désolée, c’est encore nous qui allons devoir faire le sale boulot ! Ouais, parce que la COP 21, c’est comme après un conseil de coloc… Tout le monde a dit qu’il allait faire un effort, pis en fait, ben c’est toujours les mêmes qui font la vaisselle.

En substance, ils ont dit qu’il allaient essayer de se maintenir en-dessous de 2°C d’augmentation d’ici à 2100, et 1,5°C si possible !  Le même « si possible » que pour le footing hebdomadaire…

Avant 2100, 2016 donc… année de… la fournaise, avec de nouveaux records de température. Comme les gouvernements ont piscine, on bouge pour notre planète, pour notre île, pour notre famille, pour notre santé ! Rassurez-vous, ou pas, je serai là toute l’année pour vous rappeler vos bonnes résolutions. On commence avec ma Semaine « Alimentation Responsable »

LUNDI MATIN

Je petit-déjeune Nutella sans huile de palme (“noisette” pour ne pas la citer ou encore mieux Nocciatella bio !) et miel local, plutôt qu’un miel importé, sans doute frelaté s’il ne vient pas d’Union Européenne. Mieux que ça encore, je mange la confiture de ma maman ou le miel d’un ami apiculteur, c’est toujours meilleur !

MARDI MIDI

Je tourne ma langue sept fois dans ma bouche avant de commander un américain, ou une salade épaule, ou un sauté mine poulet : j’ai vraiment envie de la “viande” qu’il y a là-dedans, si on peut appeler ça viande ? Je préfère pas un plat végétarien, quitte à me faire une entrecôte la prochaine fois que je vais dans un bon resto ?

MERCREDI

Au supermarché comme au resto, je réfléchis deux secondes au bilan carbone de ce pack de Perrier ou de San-Pellegrino, je le repose discrètement et prends de la Cilaos à la place. Pour les hommes, remplacez Perrier par Stella Artois, San Pellegrino par Budweiser et achetez Dodo ou Fischer.

JEUDI

En rentrant chez moi, je me baisse pour ramasser les mangues carottes dans le chemin pour m’en faire un smoothie plutôt que de payer les yeux de la tête un truc même pas frais. Pour les hommes, remplacez mangues carottes par fruits à pain et smoothie par frites.

VENDREDI

Jour du poisson, je me limite en bichiques, camarons, pangasus et autres poissons surgelés, je consulte le site http://www.oukilepoisson.com/ et je vais acheter mon poisson au marché, d’autant que le poissonnier du petit camion m’explique comment cuisiner le truc bizarre même pas congélé ni pané que je viens d’acheter.

SAMEDI

C’est journée des courses. Je vais à la Vie Claire dépenser la moitié de mon salaire en aliments bio… Mouais, OU ALORS je m’inscris à La Ruche qui dit Oui (au Chaudron, Saint-André, La Saline et Saint-Leu), au Karo à La Possession ou à d’autres systèmes de paniers de produits locaux et bio. Cela me permet aussi de rencontrer les autres clients le soir de la distribution !

DIMANCHE

Je fais le marché (du Chaudron) et j’achète Péi. Je fais attention aux carottes sans fanes, à l’ail et aux oignons souvent importés, même sur le marché. Ça me donne une bonne notion de la saisonnalité des fruits et légumes, qui sont en plus plus frais et moins chers qu’en supermarché.

Monorail et téléphérique, les mauvaises idées des acolytes Robert

Voilà donc la suite de ma chronique concernant la mobilité, consacrée aujourd’hui aux transports en commun.

Comme je vous le disais, 5% des déplacements Domicile-Travail se font en transports en commun et ce pourcentage est stable depuis 1999.

Ne nous voilons pas la face, à La Réunion, prendre le bus est un truc de pauvre, de personnes bénéficiaires des minimas sociaux et familles défavorisées, qui ne touchent pas assez d’argent pour se payer un permis de conduire et une voiture.

Selon l’étude INSEE (que je citais la fois précédente), on reproche aux transports en commun actuels une fréquence et régularité insuffisantes, ainsi qu’un manque de correspondances pour pouvoir se rendre au travail en bus. De plus, peu d’itinéraires sont actuellement « en site propre », ce qui ne veut pas dire qu’on fait du curling sur la route avant chaque passage du bus, mais parce qu’il bénéficie d’une voie réservée, partagée avec les véhicules de secours, les taxi et parfois les vélos. Ces rares voies permettent une vitesse correcte des bus, même pendant les heures de pointe.

Quoi de neuf sous le soleil ? Suite à l’annulation du projet du TramTrain lorsque la majorité à la Région a changé, on piétine. On repeint des bus et on change des horaires. Le TransEcoExpress, projet de la Région pour un Saint-Pierre-Saint-Denis-Saint-Benoît rapide et fiable patine, parce qu’il reste énormément de points noirs de trafic, qui diminue considérablement la vitesse commerciale des cars jaunes.

Didier Robert, en période électorale pour la fin de l’année, nous a récemment balancé du Monorail dans les dents. Une sorte de métro/tram/train du futur… Enfin du futur des années 1960 !

Bon, le principe c’est qu’avec un seul rail et parfois une technologie à coussin d’air, on limite les frottements et donc les pertes d’énergie. Le hic c’est que c’est une technologie mal connue en France et chère.

Imazpress nous rappelle que la ville de Springfield, des Simpsons se sont équipés d’un monorail. Pour préparer cette chronique, j’ai donc regardé l’épisode 12 de la saison 4 (trop dure la vie d’un chroniqueur radio !). L’épisode commence par la condamnation de M. Burns car il planquait mal ses déchets nucléaires. Il paye donc 3 millions de dollars à la municipalité, qui organise un conseil municipal extraordinaire, pour savoir quoi faire de cet argent. Marge propose d’utiliser cet argent « à quelle chose dont toute la ville serait fière » et de refaire la grande rue, mais voilà qu’un étranger se présente avec une belle idée toute neuve.

Je vous propose d’écouter la chanson du Monorail, qui montre bien comment on peut attirer les gens, juste avec une idée nouvelle, et les convaincre franchement facilement… Attention ! L’épisode des Simpsons n’est pas aussi cynique que la vraie vie, car celui qui le propose n’a pas enterré un projet de TramTrain au début de sa mandature.

Dans la série Nouvelles idées pour une nouvelle ville, je voulais aussi vous parler du PLUS LONG TÉLÉPHÉRIQUE DU MONDE prévu par… Thierry ROBERT. Il a l’idée de relier Saint-Leu à Cilaos. Si vous vous demandez pourquoi Saint-Leu et pas Saint-Louis, porte d’entrée du cirque, je pense que c’est parce qu’il n’a pas le droit d’acheter une autre commune que la sienne… Alors voilà, donc, Mister T. a lancé cette année une étude de faisabilité pour ce tracé,  d’un montant de près de 300 000 euros.

Selon lui, il s’agirait « d’améliorer la desserte de lieux stratégiques, offrir un transport innovant aux touristes et aux Saint-Leusiens, valoriser une image « éco-durable » de la collectivité », mais aussi et surtout, de claquer 200 millions d’euros de deniers publics…

Je ne suis pas contre les téléphériques, qui sont déjà utilisés dans de nombreuses villes au relief accidenté, où il n’y a pas la place de faire passer un métro aérien, où pour traverser des fleuves. On en parle depuis un moment pour relier la Montagne au centre-ville de Saint-Denis, mais on se heurte à un coût prohibitif, car il faudrait selon le droit français exproprier toutes propriétés qu’on survole.

Les idées de transport par câble à La Réunion : désenclavement des cirques et liaisons urbaines à Saint-Denis entre les Hauts les Bas. En rouge le projet de Thierry ROBERT.
Les idées de transport par câble à La Réunion : désenclavement des cirques et liaisons urbaines à Saint-Denis entre les Hauts les Bas. En rouge le projet de Thierry ROBERT.

Sur le Saint-Leu> Cilaos, j’aimerais juste savoir qui réalise quotidiennement un trajet Saint-Leu > Cilaos ou l’inverse. Et comment Mister T. imagine pouvoir implanter le plus grand téléphérique au monde, long de 22 kilomètres, au beau milieu du Parc National et des paysages classés à l’UNESCO, en passant par le Grand Bénare !

Sur ce, je vous laisse, je vais rater le funiculaire de 19h02 pour le Piton des Neiges.

La Petite Reine

Je publie ici ma chronique écolo du jour, pour l’émission de radio Le Joyeux Bordel (radio Lycée Georges Brassens).

Pour commencer cette chronique Transports, je vous présente quelques statistiques sur les déplacements Domicile-Travail. A La Réunion, selon une enquête INSEE, en 2011 :
– 3/4 des réunionnais se rendent au travail en voiture (et tous déplacements confondus, ce chiffre grimpe à 89%)
– 10% y vont à pied
– 5% seulement en transport en commun
– 4% en deux-roues, qu’ils soient motorisés ou non.

En moyenne, les Réunionnais parcourent 25 km par jour pour aller travailler, ce qui représente 1 tonne de CO2 rejetée par an, soit un Saint-Denis/Johannesburg aller retour en avion.

Les dépenses liées aux transports sont en moyenne de 343 € par mois pour un ménage, soit près de 20% de leur budget. C’est DIX fois plus qu’un abonnement Transports en Commun, alors que celui-ci vous serait remboursé à 50% par votre employeur.
C’est aussi le prix de 4 vélos d’occasion, hein…

Aujourd’hui, je voudrais vous parler de la Petite Reine, comme on l’appelle…

Vélos à Copenhague
Vélos à Copenhague

Le Vélo, donc, sans doute matière à débat, non ?

A La Réunion, il y a clairement des tronçons dangereux pour les cyclistes, encore plus en ce moment où il fait nuit très tôt. Il y a aussi des radiers submergés à passer en période de fortes pluies. Il y a aussi la quasi-obligation de te doucher quand tu arrives en sueur (et pas maquillée en plus !) au travail.

Mais tout de même, il y a des super bons côtés. Par exemple apprécier un coucher de soleil ou un sauter de baleine en revenant du travail, se défouler après une bonne journée cloué sur une chaise et surtout, surtout, l’assurance pour une fille de se faire draguer et siffler un bon nombre de fois… Euh…, ah bon, vous trouvez que ça va dans les points négatifs, ça ?

En plus sérieux, il y a des gens qui ont montré que le vélo-boulot-dodo contribuait :

* à l’amélioration de la santé des utilisateurs, qui en profitent en plus pour faire une ballade en famille le week-end sur le sentier littoral
* à la vie économique locale, d’une part par l’économie du vélo elle-même (65000 emplois en France) et d’autre part car le cycliste fréquente d’avantage les petites épiceries et entreprises de proximité, plutôt que d’aller se faire chier à Jumbo, où il n’y a même pas d’itinéraire cycliste et de stationnement vélo.
* à une amélioration de la qualité de l’air et de la fluidité du trafic, même si à Copenhague, on a des bouchons sur les pistes cyclables au niveau des feux rouges. Ici, on en est encore loin.

Mais, mais, on progresse, bien sûr. Notre chère Ségo a mis en place un plan vélo, qui inclut des modifications du Code de la Route, qui m’autorise, moi, cycliste sexy, à griller les feux rouges si je tourne à droite (des nouveaux panneaux triangulaires sont apparus, cherchez-les !) et qui te verbalise plus, toi, con d’automobiliste garé en double-file sur la piste cyclable, ou toi, scootériste demeuré qui roule sur le sentier littoral. Et avec cet argent, on peut désormais payer une indemnité kilométrique vélo, pour les salariés adeptes du vélo-boulot-dodo. Ce qui fait que moi, dépensant 1,50 euros environ par jour pour aller au travail en voiture, serais indemnisée 3,50 euros par jour pour y aller en vélo. Sympa, non ?

Mon ami Didier (Robert, président de Région, ndlr), se paye certes une nouvelle route à mille millards de dollars, mais, mais, pendant ce temps-là, une Voie Vélo Régionale voit le jour, lentement et dans la douleur. Pour à terme, pouvoir faire le tour de l’île à vélo sans se faire renverser par un camion, c’est bien non ?

Et je termine cette géniale chronique en vous signalant une chouette initiative qui a lieu ce week-end, du samedi 25 juillet au lundi 27 au soir. Ce sont des amis d’Alternatives Transports Réunion, Alternative Travel Réunion et Alternatiba qui réalisent un tour de l’île à vélo, sans doute en écoutant du rock alternatif.

Les étapes, c’est Saint-Denis>Grande Anse par l’Ouest le samedi, Grande Anse>Sainte-Rose le dimanche et Sainte-Rose>Saint-Denis le lundi. L’intérêt, c’est de réaliser un relevé cartographique et photographique de l’itinéraire cyclable faisant le tour de l’ile et de voir le type d’aménagement, son état, ses carrefours dangereux… bref ce qui marche et ce qu’il faudrait améliorer.

Le Vélo Photo Tour 2015 recherche donc des gens motivés, pour pédaler à leurs côtés (pas besoin d’être un grand sportif, qu’ils m’ont dit), pour fournir une assistance technique, pour nourriture ou logement (notamment pour les vélos, la nuit) et pour héberger la carte interactive et le blog après le tour ! Pour plus d’info : Facebook et Pouss-pouss.re


Sources :

Enquête Insee Analyses Réunion n° 4 – Décembre 2014

Calcul CO2 sur MyClimate.org

Ministère du travail pour les frais de transport.

Externalités positives du vélo : article Actu-Environnement

Sur l’indemnité kilométrique vélo : article Actu-Environnement et Challenges

Schéma Régional des Infrastructures et des Transports de La Réunion (SRIT), Dossier de Presse et Diagnostic.